Tate Modern : cliquer pour nommer

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Le logiciel de reconnaissance faciale de iPhoto enrichit la fabrique de l’autodocumentation.

Souvent dans les musées, comme au Tate Modern aujourd’hui,  je passe de longs moments à observer les gens qui contemplent ou qui documentent fébrilement leurs expériences via les téléphones intelligents, appareils photos, etc…Je documente les regards, nus ou instrumentalisés, je collectionne les regards des documenteurs.

J’ai déjà remarqué en stockant les photos que le logiciel de reconnaissance de visage procède en nivelant les différences entre les personnes et les représentations : il traite les portraits comme des personnes alors que les spectateurs acquièrent le statut de sujets représentés.

Le service de reconnaissance faciale serait bientôt disponible sur les mobiles.

Note : Le Tate Modern a un blogue (depuis 2005) alimenté avec entrain et avec des contenus d’une qualité exceptionnelle. Le Tate a aussi une page FBun compte Twitter, Youtube, Flickr.

| On reconnaît parmi les oeuvres, les photos de Diane Arbus et une image de Lynn Hershman Leeson représentant Roberta Breitmore, un personnage fictionnel, créé entre 1974 et 1978 détenant un gros compte de banque et un carte de bibliothèque. |

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